Catégorie Ecrivain
L'auteur souhaite savoir tous les éléments et détails qui pourraient améliorer son style d'écriture. Il demande à être jugé comme serait jugé un véritable auteur.
Cette histoire a été écrite par Serow Awen
La Prophétie[]
Quand les nains se cacheront,
Dans leur sombres tunnels ;
Quand les elfes retourneront,
Dans leur paradis naturel ;
Quand seuls les hommes resteront,
Sur leur planète originelle ;
Sauteront les gonds de l'Éther
Et l'obscur sèmera la mort et la misère.
Le sort du monde résidant,
Dans les mains d'un nourrisson ;
Il choisira son camp,
En fonction de ses aspirations ;
Et le sort du monde sera scellé,
Pour l'éternité.
Les Sept Formes Magique[]
Magies des éléments (utilisées par les elfes, mages, druides, nains magiciens) :[]
- Magie de l'air
- Magie de la terre
- Magie de l'eau
- Magie du feu
Magies de la vie et de la mort :[]
- Magie de la vie (utilisées par les elfes, mages, druides, vampires)
- Magie de la mort (utilisées par les elfes, mages, druides, vampires)
Autre[]
- Pureté (utilisé par les elfes, quuelques mages, quelques druides)
Grand livre[]
Chapitre 1, Lieux connus et important[]
Saëso[]
Des lieux les plus connus d'Ardamir, Saëso est sans doute le premier : territoire sacré des elfes après l'Entardis, elle se trouve à quelques milles de bateaux du Continent, bien que les allés-venus soit des plus rares. Cette île, en forme de jarre, est laissé la nature, et ses nombreuses forêts sont jalonnés de petits villages, de cabanes dans les arbres... selon les écrits des Anciens. Le « portail » qui relirait Saëso avec l'Entardis se trouverait à Valar, cité légendaire pour ses arbres géants porteur de puissance.
Chapitre 4, Êtres de lumières[]
Elfes[]
Les elfes, ces créatures fantastiques qui sont sorties de la lumière, ont souvent été considérés comme un intermédiaire entre les hommes et les anges. Bien que l'existence de ces derniers n'a jamais été prouvée et qu'aujourd'hui, beaucoup pensent que ces créatures sont tout droit sorties de notre imagination, la légende de Ludovick et Oriane ne reste pas moins racontée de bouche à oreille. Selon elle, un ange, descendu du ciel à cause de la beauté d'Oriane, simple mortelle, aurait joué de sa transparence devant la femme émerveillée. Le résultat de cette nuit serait la création de faux jumeaux, une fille et un garçon. Ces derniers, mi-hommes mi-anges, furent le début d'une nouvelle race intelligente : les elfes. Ceux-ci s'exilèrent rapidement, trouvant l'aire terrestre pas assez à leur goût. Leur pouvoir divin leur aurait permis, grâce au sacrifice des jumeaux d'Oriane, la création d'un monde parfait, qu'ils nommèrent « Havre d'Entardis ». Bien qu'aucun humain n'ait pu visiter à ce jour ces formidables contés et qu'aucun elfe ne fut disposé à répondre à un interrogatoire dans une de ses brèves sorties, l'existence de l'Entardis fut néanmoins prouvée quand Celebrìan rapporta un échantillon d'air et fragment de rocher de ce monde fabuleux. Les mages furent, pour la première fois depuis l'histoire de l'homme, plus que disposés à étudier ces fabuleuses reliques. Et ce fut grâce à leur magie que la légende d'Entardis devint réalité. Celebrìan, quant à elle, eut un destin bien tragique : apprenant sa trahison, son père, appelé Gurthang, dompta des lions et les lâcha sur sa fille. Elle poussa alors la longue plainte qui avait sauvé tant d'elfes, celle qui vient demander à la nature et à ses animaux de l'aider. Mais cela n'avait rien à y faire. Dévoués à Gurthang, ils n'écoutaient plus que le désir de leur maître. Les elfes, en apprenant l'horrible crime de leur camarade, décidèrent de lui faire subir la même torture que celle qu'avait endurée sa fille. Bien que les elfes ont un esprit des plus fragiles, surtout quand il s'agit de tuer, la mort de leur semblable fut une étape plus facile que les autres à surmonter, en raison du fait qu'ils ne firent que le laisser dans la fosse aux lions. Quand à Asfandelf, le bel amoureux Adjad de Celebrìan, il apprit bien vite que son amante avait été tuée et son criminel vengé. Ayant l'impression de vivre pour une cause échappée et vengée, il dédia âme et cœur à l’embellissement de l'Endalé, terre ancestrale des Adjads en se métamorphosant.
Les elfes sont craints par de nombreuses créatures intelligentes, pour ne pas dire toutes, car même gobelins, orques et vampires reculaient devant un elfe. Cela a contribué à faire d'eux l'espèce la plus renommée, car ce fut grâce à Hyamendacil Awen, légendaire vainqueur de la 1ère guerre Ardamiriënne, que les elfes sont si connus à ce jour. Le fabuleux exploit du héros a été de tuer le seigneur Vladimir, roi des vampires et principal dirigeant de guerre. Mais, malgré le fait que son exploit fut récompensé par tant d'hommes, de gnomes et même de nains, il fut maudit par un autre : Vladimir eut, avant de mourir, le temps de prononcer une brève phrase, une Malédiction, avec un M majuscule en raison de sa nature magique. Les vampires sont des experts en magie de la mort plus communément appelée magie noir. Cette forme de magie touche à tout ce qui est Malédictions, tuerie par volonté, appelées les mort, voir même les ressuscités, même si cette acte magique touche à la magie de la vie.
Adjads[]
Les Adjads, créatures elles aussi lumineuses, sont supposées vivantes par l'assemblé des druides et le conseil des mages. Ils seraient aussi beau et habile que les elfes, en fait, parfaitement pareil, excepté leur taille (ils ne dépasserait pas les un mètre quatre vingt-cinq, et leur magnifique ailes, d'une envergure d'environ deux mètres. Ils sauraient aussi bien voler qu'un faucon, ce qui leur conférerait un énorme avantage au combat et surtout au tir à l'arc. Ils auraient aidé les elfes pendant la première guerre Ardamiriënne, et seraient allés, selon la légende, jusqu'à porter Hyamendacil Awen jusqu'à la tour de siège. Cette partie de la légende s'avère fausse, car quelques humains encore debout, aurait vu le héros escalader la tour, ce qui le rend encore plus légendaire à nos yeux. Les Adjads vivraient en Awenguïa lieu similaire à l'Entardis, où pousserait un arbre légendaire, celui là même dont on aurait prélevé les graines des Valars.
Chapitre 1[]
Serow Awen, simple mineur nordique, courait. Courait à en perdre haleine, à en perdre la vie. Non. Toute personne sensée aurait pu rectifier. Il fuyait. Fuyait la misère, la violence. Et la vérité. Cette vérité accablante, détestable. Mais pourtant la vérité. Sa vie avait été comme écrite à l'avance, peut-être même avant sa naissance. Il travaillerait dans les mines jusqu'à l'épuisement, chaque jour, jusqu'au bout de sa vie. Jusqu’à ce qu'il meurt, à quarante-cinq ans, de fatigue, de routine. Oui. C'était cela. La routine était en train de le tuer. De l'épuiser. Alors, il courait. Courait pour rejoindre l'inconnu, pour connaître le monde, pour savoir autre chose que la vie était cruel et froide, sans cœur. Oui. Il voulait la voir dans sa splendeur, découvrir la cité des Merveilles, voir ce que l'alliance des races avaient pu bâtir. Oh, que ce devait être beau ! Seules les chansons du bagne lui avait fait imaginer la beauté des lieux, et voyant cela comme une petite merveille, il n'espérait plus que la voir de ses propres yeux.
Évitant habilement une racine, sautant par dessus un des ruisseaux qui bordaient Jweids, il entra dans le village. Malgré l'heure tardive, des enfants couraient dans les rues et l'atmosphère était détendue. Quelques échoppes étaient encore ouvertes et de la fumée s'échappait des conduits de cheminées. Les maisons en pierre de taille étaient en bon état et les rares parterres de fleurs étaient entretenus avec soin. Arrivant à la place principale, bordée d'échoppes et de belles maison, il s'avança vers la cordonnerie, un sourire au lèvre malgré son essoufflement. Poussant la porte à double-battants, il entra silencieusement dans la boutique. Les quelques clients se déplaçaient sans bruits, et les rares échanges étaient chuchotés. La vendeuse, une femme d'âge mur, était assise sur une chaise de bois brut. Il se fraya un passage entre les quelques clients de l'étroite boutique et se plaça devant la caissière. Elle leva la tête et détailla le garçon. Son corps squelettique n’inspirait pas confiance, mais pitié. Ses grands yeux bleus brillaient d'une lueur d'espoir. Son visage ovale virait émacié, et ses joues creusées reflétait sa misère.
La vieille le scrutait, imperturbable. Ses cheveux blanchis par l'âge remontaient en un sévère chignon qui contrastait parfaitement avec ses traits tirés et ses rides naissantes. Ses hautes pommettes rejoignaient ses grands yeux gris. Sa robe noire, d'une coupe raide, lui tombait jusqu'au chevilles. Ses souliers en cuir souple, parfaitement ajustés, dépassaient légèrement du bureau. Ses mains osseuses, comme fatiguées par un horrible calvaire,tenaient une plume de faucon à la pointe fraîchement trempée dans l'encre. Un registre, à plat sur la table, était ouvert à la première page, laissant voir des lignes bien remplies et une écriture serrée. La vieille ouvrit la bouche, dévoilant des dents noircies, et fit d'une voix grinçante :
- Qu'est-ce-qu'il y a ?
Elle continuait de le dévisager, impassible. Cela gênait Serow au plus haut point, mais celle-ci ne semblait pas s'en rendre compte. Il était juste qu'elle n'avait aucun doute sur sa fonction : mineur. Ses vêtements en haillons en témoignaient. Ses cheveux en batailles et son corps osseux aussi.
- Je cherche un emploi, déclara-t-il d'une voix forte mais mal-assurée.
La caissière le contempla d'un œil nouveau. Un mélange de pitié et de tendresse. Un regard que Serow détestait.
- Non, souffla la vielle. Non, nous n'avons pas d'emplois.
- Vous êtes sûre ? se permit d'insister Serow. Sûre et certaine?
- Oui, soupira la vielle. Nous avons embauché Vlidir Ravagorn hier.
Les épaules de Serow s'affaissèrent. Affichant un sourire de façade, il se dirigea vers la sortie. Voyant le visage comme éclairé de l'enfant, la vielle reprit des couleurs.
- Au revoir, lança-t-elle.
Serow répondit par un signe de main, car il ne se sentait pas en état de parler sans que sa voix vacille.
Les quelques clients lui lancèrent des encouragements, un d'eux alla même jusqu'à lui donner une petite tape dans le dos, à quoi Serow répondit par des sourires ou de vagues merci, mais le cœur n'y était pas. Sans plus attendre, il sortit de la cordonnerie, qu'il trouvait finalement étouffante. Il tenta de se raisonner, de se dire que ce n'était que le premier refus, qu'il aurait bien d'autres opportunités autre part. Mais il savait qu'il se trompait. Il avait loupé le jour d'embauche ! Quel il avait été pour être aussi stupide ! Il avait attendu cette opportunité plus que personne avant lui. Il avait fait attention à chaque jour, préféré attendre que se rendre plus tôt, de peur qu'on envoie un mineur le rappeler. Il avait attendu trop longtemps. Louper le jour d'embauche. Serow se maudissait lui-même.
Il poussa la porte et se retrouva dehors. L'air frais lui rafraichit les idées. Le visage qui se présenta devant lui les chauffât. « Vlidir ! Le fils du couple le plus riche de Jweids ! Celui qui avait accepté le poste d'apprenti cordonnier ! Il n'aurait pas pu reprendre le poste de son père, celui-ci ! » Telles étaient les pensées de Serow quand il vit son petit visage bienveillant penché vers lui.
- Je suis désolé, dit le gamin, sincèrement peiné.
Sur ce, il détala.
Lexique[]
Ardamir : Joyau du monde
Valar: Les puissants
Celebrìan : Reine d'argent
Hyamendacil : Vainqueur du sud