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Cette histoire a été écrite par TatieRo24

Catégorie Non-jugeable
L'auteur ne veut pas être jugé sur ce texte.

Cette histoire est finie.


Tout d'abord Salut !

Donc si vous avez pas lu jusqu’au tome 8 vous allez vous faire spoiler. J'ai essayé de mettre régulièrement la suite mais j'y arrive pas alors soyez indulgents

sur ce je vous laisse avec cette fanfiction, je vous retrouve a la fin en commentaire pour justement commenter mon histoire !

Préface :[]

Je me présente bien que mon fils me vous a déjà présenté comme le pire père du monde.

Je m’appelle Lord Cassius Sencen, j’ai environ 450 ans, je suis Empathe. Mon épouse, Lady Gisela, fait partit des Invisibles et mon fils me hait. Pour vous expliquer pourquoi je suis si froid avec lui et pourquoi « l’amour complique tout » je vais devoir vous raconter une histoire qui s’est passé il y a à peu près 450 ans, mon histoire.

Chapitre 1 :[]

Mes parents ont eu trois garçons, j’étais le cadet.


L’ainé s’appelait Témis, il était Rafaleur, il a manifesté son talent très tôt, a 13 ans. Il était mon idole. Il était grand, blond, la peau bronzé, avait des yeux rieurs bleu glacier, il contournait les règles, séchait ses heures de cours et de colle. En fait il ressemblait beaucoup à Keefe. Il parvenait tout de même a avoir des notes pas trop mauvaises, au grand bonheur de mon père. Au moment où  l’histoire commence, il avait 18 ans.


Mon autre frère, Adem était sans Talent,

Quand Adem est rentré à Foxfire, mon père lui mettait beaucoup de pression, il se fichait des résultats il voulais juste qu’il soit très populaire et craint par les autres prodiges. Mais mon frère subissait des moqueries car il n’avait pas de talent . Il était le contraire de mon frère, petit, brun, les cheveux plaqués avec une raie bien droite au centre et des yeux fuyants bleu argenté. Au début de l’histoire il avait 16 ans.


Ma mère, et bien je n’ai pas de souvenir d’elle car elle est morte en accouchant de moi, ce qui est très rare chez les elfes. J’ai appris qu’elle était Eclipseuse et que son nom était Lady Sidamel.


Mon père se nommait Lord Crassion, il est Empathe, comme moi et Keefe. Avant que j’intègre Foxfire il me haïssait. Petit, Je pensais que c’était parce que en naissant j’avait tué ma mère mais plus tard j’ai découvert la vrai raison mais cette raison, je vous la dirait plus tard.


Moi enfin, au commencement de l’histoire j’avais 13 ans, je ressemblais beaucoup à Adem, a part que j’étais blond. J’avais des notes excellentes, mais on se moquait de moi car je n’avais pas d’amis à part Adem. Témis nous défendait contre nos harceleurs et contre mon père, il était vraiment gentil.


Ce matin-là, je me suis réveillé de bonne heure, comme d’habitude j’ai pris mon petit déjeuné, comme d’habitude, mon père faisait semblant de ne pas nous voir, Adem et moi, comme d’habitude ,et parlait avec Témis de ses projet de bêtises, il y était question d’un Gluon ( oui c’est de ce projet que s’est inspiré Keefe plus tard, allez savoir comment il a su cette histoire qui ne s’est même pas réalisée).


Je suis allé a Foxfire la boule au ventre, comme d’habitude. Je me suis fait tout petit afin que on ne me voit pas, comme d’habitude.

Cette fois-ci personne ne s’est moqué de moi, tout le monde chuchotait en petit groupe en se taisant quand j’approchais, pas comme d’habitude. Je n’ai vu aucun de mes frères pour leur demander ce qui se passait. J’ai bien vu Témis a un moment mais il me tournait le dos et je n’ai pas osé l’appeler. Bien entendu je n’allais pas demander ce qu’il se passait à une personne au hasard. J’ai donc décidé d’attendre la fin des cours pour demander à l’un de mes frère ce qu’il se passait.

Plus tard en cour d’éducation physique la principale de l’époque, Dame Rénissa, est venue me chercher en personne. J’étais plutôt heureux d’échapper à ce cour car je ne brillais pas vraiment en sport. Dans le bureau se trouvait Témis et mon père. Je me demandais ce qu’avait encore fait Témis, pourquoi on avait besoin de moi et pourquoi Adem n’était pas là, lui aussi. Et surtout, pourquoi mon père, cet insensible avait il les yeux si humides ?

« -Tu dois sans doute être au courant de ce qui est arrivé à ton frère ? questionna la principale

-Je…Quoi ?  Qu’est-il arrivé ?

Dame Rénissa éclata de rire, je ne voyait pas en quoi c’était drôle , elle reprit :

-Dans toutes les cités perdues on ne parle que de ça et tu vas essayer de me faire croire que tu n’es pas au courant ? Tu n’as pas quelques amis pour… Ah oui c’est vrai ; tu n’en a pas ! et son rire repartit de plus belle .

Je baissait les yeux, me faire humilier comme ça devant mon père était un supplice :

-Que lui est il arrivé ?

-Il est mort, il s’est tué en sautant d’une falaise, répondit-t-elle d’un ton « tout est parfaitement normal, pourquoi tu me regarde comme ça ? »

Sur le moment je ne ressentait rien. J’étais comme spectateur de la scène que se passait en dessous de moi . Je me vit interroger mon frère puis mon père du regard et les vit acquiescer gravement.

Chapitre 2:[]

Je courus m’enfermer dans les toilettes. Je n’ai versé aucune larme. J’étais en état de choc. A ce moment la sonnerie retentit, des flots d’élèves ont jaillit des portes des classes et des gens sont entrés dans les toilettes. Mais chose étrange les voix étaient des voix de filles. J’avais oublié de fermer la porte des toilettes et un groupe de fille ont ouvert la porte :

-Mais qu’est-ce qu’il fait là le petit ? s’écria la plus grande, brune aux yeux Cobalt

Je restais pétrifié

-Il chouine, répondit une autre

-Mais il n’a pas le droit de chouiner ici ! S’indigna une rousse, pas dans les toilettes des filles !

Je me rendis compte à cet instant que j’étais chez les filles et que je n’étais pas là au je devrais être.

-Attendez ! lança une blonde aux yeux bleus glaciers, C’est pas le frère de celui qui est mort ?

Elle c’était ma future femme, Lady Gisela, je tombais aussitôt amoureux d’elle. Elle avait l’air moins sotte et peste que ses amies.

-Mais si ! Tu as raisons ! Il pleure sans doute pour son frère ! répondit la brune

-Je sais même pas si il est au courant, avec le peu d’amis qu’il a !

-Vous savez si il est muet ? il n’a pas dit un mot ! s’interrogea Gisela

Je la fixais sans parvenir à lui cacher mes sentiments

-Je…désolé…jemesuistrompé, j’ai bredouillé

-Qu’est-ce qu’il a dit ?

Je détalais sans demander mon reste.

Je ne sais pas par quel effort surhumain je vais réussir a publier ce livre, tant de honte y figure !

Je rentrais a la maison ou je trouvais mon frère et mon père, effondrés, ils m’expliquèrent tout :

Ce matin Adem ne s’était pas présenté à Foxfire, on avait appelé la famille et mon père leur avait dit que mon frère n’était pas à la maison. Alors avait débuté les recherches et on l’avait retrouvé sur un rocher près de l’océan ; il avait sans doute essayé de se jeter dans l’eau mais était tombé a coté et s’était brisé les os , une mort atroce, lente. Mon père culpabilisait car il pensait que c’était à cause de lui, de la pression qu’il lui mettait et de ses harceleurs qu’Adem était mort. Témis, lui était inconsolable.

Je revenais a Foxfire les jours suivants mais je ne subissais plus de moqueries, tout le monde se taisait à mon approche puis murmuraient dans mon dos.

Mon père sombra dans une lente et profonde dépression. Mon frère aussi. Il ne trainait plus avec ses amis à Foxfire, il restait dans un coin de la cour, sur un banc. Mon père ne travaillait plus, il restait au lit sans bouger.


Un jour, j’allais à Foxfire et Gisela m’a abordé :

-Ça va ?

-Heu…oui…

Je me demandais pourquoi elle me parlait, sans doute une blague me donner des fous espoirs puis de me décevoir.

-Vous vivez pas trop mal la mort de ton frère avec Témis et ton père ?

Voila, elle m’approchais pour approcher mon frère ensuite. Perfide.

-Bah…Ça va.

-Sincèrement ?

-À part que mon frère a ruiné sa vie sociale et que mon père reste au lit toute la journée, on le vit plutôt bien, j’ai dit d’un ton clignant.

-Désolé, je sais que tu penses que je suis là pour te faire des moqueries mais je voulais juste que tu me pardonnes pour l’autre jour, dans les toilettes. Je sais que je fais un peu peste mais…Désolé…

-C’est rien, j’ai l’habitude, les gens comme toi me charrient tous les jours.

-Encore désolé.

-Tu voulais me dire quoi d’autre ?

-Eh bien…(elle baissa les yeux, l’air gêné ) tu voudrais bien m’aider à réviser mon élémentalisme ? Tu es le meilleur de la classe alors je me disais que…

-D’accord, j’ai lâché Dans mon cœur, mes émotions dansaient et criaient de bonheur.

Je suis allé en cour d’élémentalisme et j’ai très bien écouté pour pouvoir bien explique à Gisela le cour.

A la fin des cours je suis passé chez moi pour me laver, me brosser les dents et troquer mon uniforme pour une chemise simple.

J’ai sauté et je me suis retrouvé devant un manoir sobre, en pierre au toit d’ardoise avec des petites tourelles. Du lierre grimpait au mur de ce manoir.

Gisela apparut, elle portais une robe bleu glacier, assortie à ses yeux, je la trouvais magnifique. Elle m’a fait entrer par un porte plus petite que la principale mais tout de même imposante.

-Viens c’est par là


Je la suivais dans un dédale de couloirs , de portes et d’escaliers. Nous sommes enfin arrivé sur une tersasse avec une table et deux chaises, invisible vu d’en bas.

-C’est ici qu’on va travailler, fit Gisela

-Tu as le matériel ?

-ah oui heu…un instant. Bredouilla la jeune fille en courant chercher les bocaux.


Chapitre 3[]

On a travaillé toute l’après-midi, au début c’était gênant mais petit à petit, on a brisé la glace, on s’est donné rendez-vous le lendemain après les cours, puis le surlendemain et tous les jours de la semaine, je venais chez elle, un jour dans le jardin, un jour sur la terrasse, c’était génial. A Foxfire par contre j’étais toujours tout seul car Gisela ne voulais pas ternir sa réputation. Mais je m’en fichais, chaque jour j’allais chez elle.

Et puis un jour, nous nous sommes embrassés. Je lui expliquais qu’un arc en ciel embrasait un nuage si on les mettais dans le même bocal quand elle m’embrassa. Comme ça, sans prévenir. J’ai eu le souffle coupé. Et puis elle me dit doucement :

-Je t’aime.

J’ai eu le souffle coupé, je bredouillais un moi aussi et a partir de là nous étions en couple.

Le soir j’ai pris mon courage a deux mains, je suis allé voir mon père :

-Pourquoi tu ne m’aimes pas ? Et pourquoi tu n’aimais pas Adem ?

-Je suis fatigué, tu ne peux pas me parler de tout ça demain ? répondit-il

-Non, car demain tu seras aussi fatigué et après-demain aussi.

Mon père soupira :

-L’amour complique tout.

-Comment ça ?

Mais il refusa de m’en dire plus.


Les jours passèrent, les semaines passèrent les années passèrent.

J’ai intégré les niveaux d’élite.

Les esprits avaient muris, le harcèlement était passé et j’avais quelques amis.

J’ai reçu mes listes et Gisela était 22ème, je poursuivais ma relation avec elle et nous commencions à envisager sérieusement le mariage. Elle avait 24 ans et s’était déclaré Polyglotte et moi, j’avais 23 ans et j’étais  Empathe.

Mon père a acheté une maison, loin de tout, pour nous laisser ma maison a Gisela et moi.

Inutile cependant car je passais le plus clair de mon temps chez Gisela et si nous voulions emménager ensemble ce serait là-bas que nous voudrions vivre.

Thémis était célibataire et comptait apparemment le rester, brisant le cœur de beaucoup de filles.

Finalement nous nous sommes mariés, c’était joyeux, bien que mon père soit resté chez lui, c’est à partir de ce moment que j’ai commencé à l’ignorer. Depuis ce moment il n’a pas cessé de tenter de se racheter. Il m’a acheté un nombre incalculable de maisons qui ne m’ont jamais vraiment servit. Parmi elles il y avait les rives du réconfort, et contrairement à ce que j’ai dit à Keefe afin de ne pas parler de ma famille, c’est mon père qui a créé la statue à mon effigie , quelques années avant que nous ayons Keefe.

Quand j'ai été nommé Émissaire, j' étais si fier !

Je ne remarquais pas que Lady Gisela, comme il fallait désormais l’appeler, mettait petit à petit de la distance entre nous. Elle passait ses journées dans son bureau sans me dire ce qu’elle y faisait. Elle m’interdisait d’entrer. Elle disait de pas tirer le verrou mais une fois j’ai voulu voir ce qu’elle faisais mais la porte était fermée à clé. J’ai donc regardé à travers le trou de la serrure et j’ai vu ma femme en train de manipuler un liquide noir et un autre blanc.

Je ne m’en inquiétais guère et oubliais peu à peu cet épisode. Certaines fois je sentais des horribles odeurs qui émanaient de cette pièce, d’autres fois je sentais une noirceur qui sortait pas les trous de la porte et qui tentaient de pénétrer mon cœur. Elle partais souvent sans prévenir pour voir « des amis » comme disait-elle quand je l’interrogeais à ce propos.

Mais j’avais été aveugle et je commençais à peine à sentir sa nature froide et manipulatrice. Elle me donnais un échantillon de son amour pour m’appâter puis ne me donnais que de la froideur.