| Le tueur du lac |
Dans une cachette vous observiez un étrange et étonnant rassemblement dans les ruines d’un palais, sur un continent mystérieux et lointain au Nord des deux continents. Vous êtes un mercenaire au service d’un riche dragon qui vous avez engager pour résoudre un étrange meurtre, un dragon fut retrouver mort dans sa maison, trois pattes arraché et sa tête avec sa colonne vertébrale avec.
Aucun membre des dix clans de dragon aurait pu faire ça, alors vous vous êtes rendu sur les lieux du meurtre qui était la maison de la victime et vous fouillèrent partout, dans les moins recoins et aviez découvert un livre. Quand vous vous mirent a le lire, vous furent étonner de ce qu’il contenait avec cet histoire sur ce continent nommer Sinistria, mais pas totalement car seul une minorité connaissait cet endroit et dans ce livre, indiquer la route a suivre pour y aller.
Vous aviez fait part de vôtre découvert a vôtre employeur et vous y rendre et trouver ce qu’il clochait la bas, vous arrivèrent la bas après des jours de voyage et tombèrent sur un village de dragons de Pyrrhia et Pantala, vous furent surprit de ça, mais vous découvrirent qu’ils étaient la pour percer le mystère de ce continent. Vous allèrent voir le chef du village qui vous invita chez lui et demandâmes ce que vous fessiez ici.
- Je suis un mercenaire, envoyer sur cet terre, pour découvrir ce qui se passe ici !
- Vous ferriez mieux de partir alors, si vous restez, vous mourez ! dit le chef du village.
- Pourquoi ? demandez vous.
- Cet terre est remplit de monstre, on leur survit grâce a deux chose, la première c’est grâce a nos fortification, une muraille épaisse.
- Et la deuxième ?
- On leur livre 5 de nos dragonnets Aile de Glace chaque années, soupira t-il, en échange ils nous tuent pas tous.
- QUOI ? hurlez-vous. Ils font quoi d’eux.
- Ils les sacrifient d’après ce que je sais.
Il vous expliqua que sa se fessait depuis 200 ans, depuis l’arrivé de leurs ancêtres sur cet terre et ils pouvaient plus partir une fois qu’ils ont découvert qu’ils furent maudit et obliger de reste la. Il vous dit aussi ou les dragonnets sont sacrifier et quand, c’est a dire se soir devant les ruines d’un palais, vous décidèrent d’aller voir ce sacrifice et tentait de sauver ces pauvres enfants.
Vous vous installèrent dans une tour du palais encore intact et attendirent, vous aviez explorer ces ruines sans rien trouver a part des squelettes d’Ailes de Glace accrocher au mur par des armes rouillé ou pendu par leur propre queue et un autre, celle d’une dragonne d’un clan inconnu, les os noir sur un trône.
La nuit arriva et des choses avec des torches arrivèrent de toute part, des monstres recouvert de poils, des squelettes marchant, des dragons a moitié décomposé, d’autre qui l’était pas mais porter des masques et des armes avec du rouge et du bleu dessus, ce qui était du sang. Des poteaux furent planter dans le sol en cercle, c’était au nombre de cinq, de plus en plus de ces êtres arrivaient, ils étaient pas des dizaines, mais des centaines, un millier.
Puis une cage arriva, avec des choses blanches dedans, il fut déposer au centre des cinq poteaux en bois auquel on entasser des morceaux de bois a leurs pieds, vous comprirent qu’ils allaient brûler les dragonnets de glace. Vous grognèrent décider a pas les laisser faire, vous descendîmes de la tour ou vous étiez pour mieux voir ce qui se passé mais en restant cachez.
Puis des dragons frappèrent sur des tambours en chantant des paroles incompréhensible pendant un moment, vous espériez qu’un moyen de diversion allait arriver pour libérais les dragonnets mais elle vint pas, plus tard, quand les trois lunes furent le plus haut, les chants et les tambours arrêtèrent, puis tous se tournèrent vers les ruines. Vous aussi et vous virent une lueur apparaître puis une dragonne entourer de flamme.
- Lâchez nous, pitié !
C’était les dragonnets qui suppliait les monstres de les laissaient en vie, mais ils furent attacher solidement au cinq poteaux un par un, vous ressentiez de la frustration car si vous tentiez de les sauver, tous les créature ici présent vous tuerez, vous étiez impuissant. La dragonne s’avança pour allait au centre de tous et les flammes qui l’enveloppait la tuer pas, portant elle était de chair au loin, elle avait l’air de sourire.
- Ami monstre, mort vivant, tueur et autre créature… dit-elle a haute voix portant dans les environs, soyez la bienvenu pour ce nouvelle sacrifice, le 3 861ème sacrifices depuis vôtre arriver !
Ce qu’elle venait de dire vous firent comprendre que ces sacrifices avait lieux depuis moins de quatre millénaires, et c’était sûrement que des Ailes de Glace qui était sacrifier a chaque fois, mais pourquoi, c’était la question sans réponse.
- Pitié… madame… laisser nous partir ! pleurnicha un des dragonnets.
- Oui… on veut retrouver nos parents ! dit un autre.
La dragonne s’approcha de l’un d’eux et ces flammes s’éteignirent, elle toucha la joue du dragonnet et soupira.
- Je fus mère une fois, mais a cause de mon compagnons, un membre de vôtre clan je l’ai perdu ! sa voix devenait était triste au début, puis plus froid. Et je vais me venger de vous, mais j’aurais besoin de vôtre mort a vous cinq pour rester en vie dans ce monde !
Ces flammes revinrent brûlant le visage du dragonnet, elle alluma les tas de bois au pieds des poteaux, allumant ainsi des bûchers, vous entendîmes les dragonnets se mettre a hurler. Vous n’en pouviez plus et allèrent auprès des bûchers pour tenter d’en sauver un, peu importe que vous mourriez ou non, mais les flammes redoublèrent d’intensité causant plus de douleur au dragonnet et vous furent plaquer au sol par plusieurs monstres, vous vous attendiez a mourir, mais personne tenta de vous tuer.
- On en fait quoi, ma reine ? demanda l’un d’eux.
- Laissons à Cauchemar de décider son destin !
Vous tentèrent de résister inutilement et vous furent assommer.
Vous vous réveillèrent doucement avec un mal de tête sans rien voir, vous vouliez frotter une de vos pattes dessus pour voir si la bosse saigner, mais elles étaient attacher, vôtre position vous indiquèrent que vous étiez attacher sur une chaise, vous pouviez sentir vos ailes et vôtre queue être attacher aussi, une chaînes collant vôtre cou au dossier du meuble, vous reprirent conscience totalement, mais vous voyez que du noir et quand vous tentiez d’appeler quelqu’un, aucun son sortait de vôtre bouche car vos mâchoires était entourer d’un cercle de métal les maintenant fermer.
Vous pouviez entendre les bruits d’un feu crépitent a côté, de même que sentir la chaleur de ce dernier sur vos écailles, vous étiez dans une pièce d’une maison, mais ou et a qui, c’était ce que vous risqueriez d’apprendre car vous entendirent une porte s’ouvrir et es pas.
- Ah, enfin réveillait ! dit une voix.
Vous sentirent des pattes libérait vôtre museau d’un anneau de métal et retirer vôtre bandeau sur les yeux, vous regardèrent celui qui vous avez rendu la vue et la parole, c’était un Aile de Nuit rouge sombre et au ailes noir avec des yeux rouge sang.
- Vous allez me faire quoi ?
- Rien, à part vous lire une histoire, je suis Cauchemar et vous ?
- Je suis un mercenaire et je vous dirai pas mon nom !
- Bien, soupira Cauchemar en se dirigeant dans un coin de la pièce.
Cet dernière était grande avec des étagère remplit de livres et de parchemins, le feu était dans une cheminer, un fauteuil vide se trouvait en face de vous et vous pouviez voir par une fenêtre le soleil qui commençais a se lever, vous aviez passer la moitié de la nuit inconscient. L’hybride était entrain de regarder les étagères pour chercher un livre, vous aviez pas envie de le laisser faire vous commenciez a bouger dans tous les sens pour tenté de vous libérez.
- Pas la peine de faire ça, dit l’autre sans vous regardez, vos chaînes ne vous laisseront pas partir et elles sont incassable !
- Venez vous battre monstre ! hurlez-vous de rage. Détachait et combattait moi !
- Non, mais tu ma aider a choisir l’histoire qui mettra fin a la vôtre !
Il prit un des livres souriants et s’assit dans le fauteuil en face du vôtre, vous grognèrent quand il l’ouvrit a la première page.
- Chut, maintenant écouter et sans m’interrompre ! ordonna t-il.
- Sinon quoi ? Vous allez me tuer avant la chose de vôtre histoires ?
Il soupira et vous remit l’anneau qu’il vous avez enlever, pour vous réduire au silence.
- Bien, vous allez plus m’interrompre comme ça !
Il commença a vous lire l’histoire et vous étiez obliger de l’écouter.
« Il y a cinq siècles, près d’un lac au beau milieu de Sinistria, un territoire ou les monstres et les tueurs au armes en sang ne venait pas, personne le savait, jusqu’à cet nuit sanglante. Une des lunes était rouge sang et les deux autres rose, 9 dragonnets a peine sortit de l’enfance était de voyage, ils firent un feu de camp près d’un lac et se racontèrent des histoires terrifiante sur Sinistria et les monstres.
Ils étaient cinq Ailes de Boue, une Ailes de Mer, une Aile de Glace, et deux Ailes du Ciel, c’était un Aile du Ciel qui racontait les histoires d’horreur fessant tremblait de peur la dragonette de glace qui se cachait les yeux derrière ces pattes en pleurant de peur.
- Arrête Scarlet ! dit la dragonnette de mer.
- Quoi ? déclara innocemment la femelle Aile de Pluie.
- C’est pas sympas, tu sait très bien que les Ailes de Glace sont le plus toucher par les monstres ! accusa une Aile de Boue de sa fratrie.
- Elle n’a cas partir, et laisser ma sœur continuer a raconter ! répliqua le frère de Scarlet.
La dragonne de glace avait envie de retourner chez elle et elle pleurait, les autres regardaient les alentour sans voir l’ombre d’un monstre, pour ils avaient l’impression de se sentir observer, même la dragonnette de mer qui voyait dans le noir, ne voyait nulle part cet menace invisible qui allait bientôt peser sur eux et sans prévenir.
Plus tard, les dragonnets s’endormirent sauf un Aile de Boue, la dragonnette du ciel et celle de mer qui surveillaient les alentours, rien n’arriva pour l’instant, puis un craquement de branche se fit entendre, dressant les oreilles des trois dragonnets vers la forêt, la dragonnette de mer qui était près du lac fut la première.
Deux pattes la prirent par derrière, elle était au bord de l’eau et les pattes étaient sortie de la, pour la happer, elle se mit a hurler puis fut emporter sous l’eau, les autres se réveillèrent et regardèrent en direction du lac en reculant, des bulles d’air continuèrent a monter a la surface, puis plus rien. Les huit enfants ne comprenaient pas ce qu’il c’était passé y a un instant.
Puis quelque chose remonta a la surface, comme lancer depuis sous l’eau, il se mit a rouler vers le feu et tous furent choquer, c’était la tête de leur amie, arracher le visage remplie d’effrois. Tous regardèrent le lac ou un Aile de Mer bleu abyssale en sortit, ces bandes lumineuse bleu très sombre lui donnèrent une allure de fantôme et portait un masque blanc et derrière, il avait des yeux rouge sinistre.
Les enfants se mirent a hurler et foncèrent dans la forêt, suivit par le dragon masqué, ils se dispersèrent chacun de leur côté sauf les Ailes de Boue qui restèrent ensemble. L’Aile de Mer sortant du lac choisit de suivre l’Aile de Glace, les Ailes du Ciel c’étaient enfuit en volant, il se mit a la suivre tranquillement, il connaissait les environs par cœur.
La dragonne de glace pleurait en courant, elle vivait un cauchemar qu’elle voulait pas assister ou rêvait, elle trouva un bâtiment abandonner et alla dedans, y avait qu’une pièce avec une table, des chaises, un lit et une armoire, elle déplaça les meubles pour bloquer la porte. Elle termina après de gros effort et fut rassurer pour elle, mais pas pour les autres, puis la porte se mit a être frapper dessus a coup de poing, la dragonnette sursauta et trembla de peur.
Puis le martèlement cessa, elle hésita a regardait si la chose était partit mais préféra restait au centre de la pièce, mais elle vit par une fenêtre l’Aile de Mer masqué partir, elle frissonna ne voulant pas savoir ce qu’il resservait a ces amis.
- Ils vont s’en sortir… murmura t-elle pour elle même, il suffit d’attendre que le jour se lève, comme tous les monstres… il partira chez et je retrouverais les autres !
Elle attendit toute la nuit que le soleil se lève, puis ôta doucement chaque meuble de la porte, elle avait pas dormit de la nuit a cause de la peur qui était en elle, elle ouvrit doucement la porte puis regarda autour d’elle sans trouvait la chose de la nuit ou ces amis.
Elle regarda dans une direction qui était une colline et qui servirait de point de rassemblement si elle et les autres devait être séparer, elle s’y rendit avec prudence et une fois arriver sur les lieux, trouva rien. Elle marcha en attendant un peu les autres, puis quelque chose de pointu comme une mâchoire se ferma sur sa patte arrière gauche la fessant hurler de douleur.
Elle regarda la chose qui était un piège en métal, elle sera les dents et tenta de se libérait de cet chose, mais elle était pas assez forte, elle tenta de s’envoler avec pour s’éloigner mais le piège était fixer au sol la fessant hurlait a nouveau. Elle entendit des pas espérant que se soit un de ces amis mais c’était l’Aile de Mer fou, il avait du sang rouge sur lui et s’approcha de la dragonnette tranquillement.
- Non… pitié ! supplia t-elle. Je veut pas mourir !
Le tueur ne dit rien et la plaqua au sol d’une patte arrière et ouvrit le piège en métal avec les deux libérant la patte ensanglanter, a peine il l’ouvrit qu’il prit la dragonnette solidement immobiliser sous une aile et l’emmena.
L’Aile de Glace savait pas comment s’en sortir avec une patte blesser et saignante, ils arrivèrent plus tard dans une grotte que le tueur éclaira avec ces bande lumineuse, y avait du sang sur le sol, un lit de pierre, des armes accroché au mur sur un côté de la grotte et… les amis de la dragonnette sur le sol dans un coin de la pièce sur une sorte d’autel tous morts de divers façon et atroce, elle ne pu retenir un crie de terreur, ils étaient tous mort pendant la nuit alors qu’elle non.
Elle commençais a perdre espoir de sortir vivante, mais son tortionnaire la prit et la planta ces ailes dans deux stalagmite transperçant les os et la chair de ces ailes comme si rien n’était. Elle se mit a hurler de douleur puis sa queue subit le même sort avec ces quatre pattes aussi, elle pouvait rien faire a part hurler de douleur, attendant le coup de grâce pour mettre fin a sa vie.
Mais les heures passèrent et rien, puis quelque jours, la dragonnette mourut, elle c’était vider de son sang pendant que ces pattes, sa queue et ces ailes saignait. Son corps fut mit avec ceux de ces amis sur l’autel de l’Aile de Mer masqué qui avait rien dit et avait rien éprouver. »
L’hybride ferma le livre et le posa sur une petite table en vous regardant.
- Voilà, vous savez qui vous tuera ! déclara t-il.
Vous étiez effrayez, mais peut car vous étiez un soldat et vous pensiez mettre fin au meurtre de ce tueur, Cauchemar se leva et vous laissa dans la bibliothèque jusqu’au soir ou il vous mit un bandeau sur les yeux et vous détacha de la chaise, vous tentiez de vous débattre plusieurs fois pendant le trajet Il finit par vous déposez au sol et vous enleva le bandeau, vous virent que vous étiez près d’un lac et y avait une forêt a côté.
- Je vais vous détachez, sauf les ailes !
Vous regardèrent se demandant pourquoi il vous avez pas conduit tous de suite au tueur.
- Mon ami Voorhees aime pourchasser ces proies !
Il vous détacha et vous enleva l’anneau fermant vôtre museau avant de s’envoler et s’éloigner, vous regardèrent dans toute les directions, vous deviez trouver un moyen de vous libérez les ailes et de tuer ce tueur fou. Vous coururent dans une direction pendant une heure, vous vous arrêtèrent et virent un piège a ourse, y avait du sang séchez sur la mâchoire.
Vous prirent doucement le piège en pensant qu’elle servirait d’arme, vous continuèrent a avancer puis vous commenciez a penser que vous tourniez en rond, vous arrêtèrent pour reprendre vôtre souffle en tenant doucement le piège a ourse dans une patte. Vous vous mirent a écouter les bruits de la forêt qui était sinistre la nuit, puis vous vous remirent a marcher doucement puis un craquement de branche vous fit retourner.
Vous virent pendant un instant, une lumière bleu sombre puis vous vous mirent a courir, vous saviez que c’était le tueur, vous continuèrent a courir et a courir encore jusqu’à arriver a une étendu d’eau, vous aviez bien tourner en rond car vous étiez a nouveau au lac.
- Par les trois lunes !
Quelque instant après, un Aile de Mer d’un bleu abyssale avec les bandes lumineuse bleu nuit allumer, avec un masque blanc et une machette avec du sang sécher arriva, il était imposant et plus grand que vous et il vous regardez avec des yeux rouge lumineux.
Vous vous mirent en position de combat contre ce monstre avec pour seul arme, un piège a ourse alors que lui une machette, il s’avança droit sur vous et vous foncèrent sur lui avec le piège que vous pressèrent contre sa patte lever tenant son arme, il se referma sur la patte et le monstre ne crie pas, il grogna et vous repoussa près de l’eau d’une patte.
Vous vous relevèrent et coururent pendant que le tueur s’occuper de sa patte blesser, vous continuèrent jusqu’à vous vous retrouver devant une tête au bout d’une pic, la tête était un Aile du Ciel le visage figer d’effrois et commencer a se décomposer, vous passèrent a côté puis tombèrent sur un Aile de Feuille avec un branche d’arbre transperçant sa tête et son œil, des mouches volaient autour de son cadavre.
Vôtre mâchoire trembla d’effroi puis vous regardiez le sol, un squelette Aile de Pluie avez eu le crâne défoncer par une pierre jusqu’à que l’os se casse, ces trois la étaient mort dans d’atroce souffrance. Vôtre cœur se mit a battre plus vite puis vous vous retournèrent, l’Aile de Mer masquer arrivait droit sur vous en marchant.
Vous prirent une épée un peu rouiller au sol et vous vous mirent en position de combat, puis un combat eu lieu entre vous et le tueur, il vous attaqua avec son arme et vous parèrent avec le vôtre, puis contre attaquèrent en plantant vôtre épée dans sa patte pour la couper, vous réussirent qu’a couper a moitié la patte et il grogna fort avant de vous donnez un coup de queue au ventre vous coupant le souffle et puis un crocher allant de bas en haut sur vôtre tête vous fessant tomber sur le dos.
Vous grimacèrent en tenant vôtre mâchoire endolorie et vous vous relevèrent, vous virent le tueur vous aveugler avec la lumière vive de ces bandes lumineuse même si elles étaient bleu sombre, puis vous vous sentirent être soulever et être coulait contre un arbre, vous sentirent une douleur dans vôtre épaule droite, c’était une branche qui vous avez transpercer.
Vous serrèrent vos dents et attaquèrent a l’aveugle avec l’épée rouiller le tueur qui grogna, vous retrouvèrent peu a peu la vue et virent que l’arme avait toucher l’Aile de Mer la ou se trouvait son cœur, mais il continuait a vivre car il retira l’arme avec sa patte valide sous vos yeux et vous regarda avec les siens.
Vous tentèrent de le repousser en le griffant mais il fut hors de porter et sans prévenir, planta l’épée dans vôtre ventre et la sorti d’un coup avec un mouvement vers le bas, vous hurlèrent de douleur et vôtre ventre s’ouvrit pour déverser un flot d’organe sur le sol, vous furent écœurer puis vous virent le tueur partir vous laissant dans vôtre états et vous moururent éventrer contre un arbre.
FIN
Le tueur masqué
Modèle:Chevalier