Bonjour ! Cette fanfiction est une fanfic GDCP, elle à été écrite pour un concours de fanfiction sur le wiki parodies et fanfictions, elle parle de l'enfance de Juline et Edaline.
Bonne lecture ;)
Ah oui et c'était LinhPotterFoster DX
Prologue :[]
Je me tenais devant elle
Elle qui n'était pas censé se trouver là
Elle, que j'aimais tellement, mais qui m'avait fait énormément de peine et je venais seulement de le comprendre
Elle qui était ma vie et ma mort, mon soleil et ma lune, mon jour et ma nuit, mon bonheur et ma tristesse, mon reflet et mon ombre,
Elle qui était tout et rien à la fois
Elle qui m'avait créé puis détruit à petit feux
Ma mère.
Je la regardais puis je plongea dans mes souvenirs, dans ce souvenir, pour chercher la clé de la vérité. J'avais besoin de démêler le vrai du faux, ses mensonges de la vérité, plus que tout j'avais besoin de savoir.
La vérité c'est cette si petite chose qui fait toute la différence. On se sent mieux quand on la dit, on à peur de la révéler, on est content de la savoir mais aussi des fois désireux de l'oublier. La vérité peut être lourde à porter, cela peut être une dure responsabilité que tu dois porter sans le vouloir.
La vérité peut faire mal, comme elle peut apaiser, la vérité est prise différemment en fonction de la personne que nous sommes, de notre passé et notre présent.
Mais quoi qu'elle puisse faire, la vérité sera toujours la meilleure solution.
Chapitre 1 : Un passé bien sombre[]
Souvenir :[]
PDV Edaline :[]
Mon enfance était belle et joyeuse, avec une sœur que j'adorais et l'amour d'un père et d'une mère.
Je passais mes journée à jouer et à rire avec l'insouciance d'une enfant jusqu'à ce jour où tout fût chamboulé pour toujours.
J'avais alors 11 ans et allait bientôt rentrer pour ma première année à Foxfire tandis que ma sœur, Juline atteindrait les niveaux d'élites.
C'était un beau matin d'été, le 8 juillet, je me réveillais et remarquais que Juline avait déjà quitté le lit (nous partagions notre chambre et notre lit). Je me dépêcha alors de descendre et la trouva à la cuisine en train de mettre la table pour le petit déjeuner. Nos parents arrivèrent et je leur sauta dans les bras.
Aujourd'hui j'allais en Atlantide avec ma sœur tandis qu'eux allait se faire une journée en amoureux.
Quand le petit déjeuner fût fini, nous partîmes chacun de notre côté et je sauta avec Juline direction l'Atlantide.
PDV Juline :[]
Il faisait beau, la journée s'annonçait joyeuse. J'étais contente de passer la journée avec ma petite sœur. On allait bien s'amuser.
Après avoir passé la matinée à se balader, nous allâmes manger puis décidâmes de faire les magasins.
On sortait d'une boutique quand tout à coup, un appel résonna dans toute la ville : - " Bonjour Messieurs, Mesdames et Mesdemoiselles, vous êtes priés d'évacuer la ville dès maintenant. Seuls ceux qui habitent en Atlantlide peuvent rester pour rejoindre leur résidence et s'y confiner jusqu'à nouvel ordre. Ne paniquez pas, il n'y a rien de grave, juste un contrôle de sécurité. Vous serez tenue au courant des prochains événements au cours de la journée, passez une bonne fin d'après-midi, au revoir. "
Comme je voyais qu'Edaline n'était pas rassurée, je l'a pris dans mes bras. puis nous sautâmes chez nous.
Chapitre 2 : le chemin du destin[]
PDV Edaline :[]
L'annonce en Atlantide m'avait fait un peu peur, j'étais contente de rentrer mais, arrivée à la maison, le désastre se poursuivit.
Tout était calme, il n'y avait pas un bruit. Mais au lieu de m'apaiser, cette ambiance était plutôt angoissante. J'aimais quand les gens se taisaient, mais le silence n'était alors d'habitude jamais total. J'aimais pouvoir entendre le vent s'engouffrer entre les branches des arbres et les agiter. J'aimais entendre les oiseaux gazouiller gaiement, j'aimais entendre le clapotis de l'eau sur le rivage. Mais ce silence de mort était pesant, comme si il n'y avait plus âmes qui vivent dans la vallée.
Quelque chose clochait je le sentais, mais quoi ? Où étaient passés les petits oiseaux ? Pourquoi n'entendait-on pas l'eau et les arbres s'agiter ? Pourquoi n'y avait-il pas un bruit venant de notre si chère nature ?
Je compris que quelque chose de grave se passait. C'était comme si même la forêt se taisait pour assister à la scène, comme si elle était en deuil. Mais quoi de si grave pour que la nature même soit aussi attentive, aussi silencieuse, bien trop silencieuse pour une faune aussi vivante ?
J'échangeais un regard avec ma sœur, puis elle me pris la main et ensemble nous avançâmes vers notre destin.
PDV Juline :[]
Plus j'avançais, plus la peur me saisissait. L'atmosphère silencieuse avait quelque chose d'anormal comme si un sort y avait était jeté.
Nous arrivâmes vers la maison quand nous remarquâmes que nous n'étions pas seule.
Deux silhouettes encapuchonnées se tenaient dans l'encadrement de la porte.
Mais que faisaient-elles là ? Est-ce que papa et maman étaient ici eux aussi ? Étaient-ils au courant de la présence des hommes devant la maison ?
Avec Edaline nous nous approchâmes un peu plus des silhouettes tout en faisant attention à rester cachées. Quand nous fument assez proche d'elles nous pument saisir des bribes de leur conversation.
-" Tu crois que c'est une bonne idée ?"
-"Je ne sais pas… Mais bon de toute façon, on doit suivre les ordres de la cheffe, qu'on le veuille ou non, sinon… Qui sait ce qu'on va subir."
-"Oui" soupira la première voix, "tu as manifestement raison, on ne doit pas désobéir à la cheffe et ne vaut mieux pas la décevoir, alors gardons notre poste et tenons-nous en au plan."
Mais de quel plan parlaient-ils et qui était leur cheffe ?
Des bruits de pas retentirent et je me cacha derrière un buisson avec ma sœur, pile au moment où d'autres personnes sortirent de la maison.
-"Aller, on va l'emmener avec nous, passez devant, je vous rejoins avec lui et votre copain, le troisième bon à rien ." disait une nouvelle voix appartenant à une femme cette fois
-"Vous êtes sûre que.." commença un des hommes posté à la porte
-"On ne conteste pas mes ordres !" répondit la voix de femme qui devait appartenir à la "cheffe"
J'étais en train de me dire que nous ferions mieux de rester bien cachées, en attendant qu'ils passent quand Edaline décida de relever la tête juste au moment où les inconnus passaient devant notre cachette de fortune.
PDV Edaline :[]
Je ne sais pas ce qu'il me prit mais je ne voulais pas les laisser s'échapper comme ça, qui que ce soit. Cela aurait été plus prudent bien sûr et cela me vaudra sûrement plus tard quelques remontrances de la part de ma sœur mais cela me semblait important.
Évidemment ils me virent, et un des hommes encapuchonnés poussa une exclamation de surprise tandis que l'autre me pris le bras. Je devina qu'il devait être pyrokinésiste à la marque de brûlure qu'il laissait sur mon poignet.
Le premier, remis de sa surprise, m'enserra la taille pour que je ne tente pas de m'échapper.
J'essayai de me dégager en vain. Tout mes espoirs s'évanouirent en un instant en même temps que toutes tentatives de fuites devinrent impossible.
Je ne savais plus quoi faire, j'étais pris au piège…
Chapitre 3 : L'explosion fatidique[]
PDV Juline :[]
Edaline ne pouvait plus faire un geste, elle était cernée.
Je décida de sortir de l'ombre pour sauver ma sœur quand une nouvelle personne encapuchonné (encore un homme je pense) arriva avec…
-"Papa !? Maman !?"
Papa avait un bandeau sur la bouche, pour l'empêcher de parler, mais bizarrement, maman n'en portait pas. Papa réussit quand-même à nous dire une phrase qui semblait importante pour lui " Je vous aime mes chéries et n'oubliez pas les filles, la vie n'est qu'une épreuve. "
Edaline se débattait de toute ses forces depuis que nos parents étaient arrivés et avant que je puisse comprendre ce qui se passait les hommes encapuchonnés la lâchèrent et je l'a rattrapa de justesse avant qu'elle ne s'effondre par terre, puis nous eument tout juste le temps de reculer avant qu'une explosion de feu ne retentisse à l'endroit où nous nous tentâment quelques instants auparavant. Les trois mystérieuses personnes encapuchonnées s'étaient dégagées puis avait sauté quelques part tandis que dans le feu se trouvait…
-"Papa, maman, non !!!!" hurla Edaline qui épuisée usa de ses dernières forces pour courir vers le brasier ambiant.
Je ne perdit pas une seconde et je me jetais sur ma petite sœur pour la ceinturer de toute mes forces. Je venais de perdre mon père et ma mère sans que je ne puisse rien faire, je me devais de sauver ma sœur, sans doute la seule vrai famille qui me restait.
Edaline gesticulait dans tous les sens et malgré mes propos rassurant j'étais incapable de la calmer.
Je lui dis alors que j'allais éteindre le feu grâce à mes talents de givreuse et lentement elle stoppa ses gestes au rythme que je défaisait ma prise sur ses épaules.
Je lui pris la main puis nous avançâmes vers le brasier et elle se mit à pleurer tandis que je l'éteignais grâce au givre puis quand ne restait du feu que cendres glacées j'étreignis Edaline de toute mes forces et je me mis doucement à pleurer à mon tour.
Je venais de perdre mon père et ma mère qui étaient si chers à mon cœur, j'avais perdu leur sourire à qui on pouvait toujours se fier, leur rire si beau et si franc, leur amour si sincère, leur douce chaleur réconfortante.
J'étais déboussolée, je venais de perdre la lumière qui éclairait ma chandelle dans la sombre et froide nuit. Ma vie avait perdu son doux sens et c'était dur à accepter. J'avais envie de hurler, de courir à toute vitesse et de m'éloigner loin d'ici, mais j'avais aussi envie de pleurer, de rester sur place et de ne plus bouger pour l'éternité. Je ne savais même plus si j'avais envie de vivre quand je posa le regard sur ma sœur qui s'était blottie dans mes bras. Elle avait l'air encore plus mal que moi. Elle me faisait beaucoup de peine et je comprenais parfaitement la lutte intérieure qu'elle menait. Je compris alors que je n'étais donc pas seule, elle était là, tellement mignonne et fragile mais courageuse et forte, ma nouvelle raison de vivre, mon soleil, ma lune, mon cœur, la personne que je chérissait à l'instant le plus au monde et que je me faisait le serment de protéger, ma sœur.
Ma vie prenait un nouveau tournant qui commençait certes par un horrible événement mais grâce à la magnifique personne avec qui je partageais ma vie elle s'annonçait pleine de bonheur même si ce serait dur de se remettre de cette affreuse journée, on y arriverait car on était ensemble.
Présent (quand Juline et Edaline sont adultes ça se passe après GDCP)[]
Chapitre 4 : Dur retour à la réalité[]
PVD Edaline :[]
Je ne savais pas quoi dire, une multitude de mots se bousculaient dans ma bouche.
Ma mère n'était pas morte avec mon père dans l'explosion mais elle avait participer au plan de l'assassinat de celui-ci. C'était d'ailleurs sûrement elle la mystèrieuse "cheffe. Elle nous avait fait croire à sa mort et nous avait abandonné Juline et moi. Mais nous avait-elle ne serait-ce qu'un jour aimé ? Avait-elle prit du plaisir à voir mourir notre père ? Un frisson d'effroi me saisit à ces pensées. Ce n'était pas possible, n'est-ce pas ? Elle ne pouvait pas être heureuse d'avoir contribué à tuer son mari, non ? Et une mère aimait forcément son enfant, non ? Au moins un tout petit peu ?
Je commençait doucement à comprendre vraiment ce que devait ressentir Keefe vis à vis de sa mère, la leader des invisibles, Lady Gisela. Le pauvre, il avait une enfance tellement difficile. Sophie, Dex et tous leurs amis aussi mais lui particulièrement. Comme cela devait être dur que de devoir affronter sa mère de la sorte, que de l'avoir comme antagoniste, de la voir pendant les batailles du côté adverse défendant sa cause corps et âme sans se soucier de ce qu'elle infligeait à ses ennemies qui étaient les amis de son fils et pire à lui même. Et par dessus le marché, il avait un père incapable de montrer son amour envers lui. Pourtant je savais que Lord Cassius aimait Keefe mais pour une raison mystère, il détestait le montrer. Peut-être que lui aussi avait eu un passé plus compliqué que ce qu'on ne le pensait ? Mais bon pour en revenir au sujet qui nous préoccupe, ma mère était une traîtresse elle aussi et cela me brisait le cœur. Elle a détruit notre enfance à ma sœur et moi, nous a laissé la pleurer toute notre vie, tout ça pour qu'on la voit en ce moment devant nous dans le camps adverse. J'ai l'impression que la distance qui nous sépare est énorme, bien plus que quand je la croyais morte. Nous nous trouvons seulement à quelques mètres l'une de l'autre et pourtant nos cœurs sont très loin. Elle m'a trahi, menti, pendant des jours, des semaines, des mois, des années, des siècles. Je ne connaîs rien à sa vie et elle ne connaît rien à la mienne. C'est tellement triste, nous qui nous nous connaissions part cœur auparavant. Mais cela ne dois pas beaucoup l'attrister sinon elle ne nous aurait pas laissé en plan comme ça.
Cela faisait quelques minutes que nous nous observions sans mots dire quand je me décida à prendre la parole.
Je m'apprêtais à prononcer un simple "pourquoi ?" quand je décida plutôt de reprendre les derniers mots de mon père.
-"La vie n'est qu'une épreuve." dis-je en la regardant dans les yeux "Une épreuve capable de nous renverser à tout moment, tout aussi bien qu'à nous faire voler. Tu as peut-être choisi la mauvaise voie. Mais sache qu'une épreuve à plusieurs étapes et personne ne t'interdit de changer de chemin en cours de route. Réfléchi y bien. "
Épilogue :[]
La vie n'est qu'une épreuve. On ne la réussit pas forcément comme on voudrait mais quoi qu'il arrive on aura des regrets et des peines mais aussi des moments de gloire et de joie.
Dans une vie, on passe par toutes les émotions, les bonnes tout autant que les mauvaises. Mais une émotions négatives n'est en fait pas forcément mauvaise, car si on ne vivait que de bonheur et de confiance en soit, quand est ce qu'on se remettrait en cause ? Et puis comment apprécier les émotions positives à leur juste valeur si on n'a que ça ?
Les émotions négatives ne sont pas très facile à vivre, on ne se sens pas bien quand on les ressent, mais elles sont essentielles à la vie, si elles n'existait pas, cela aurait peut être évité quelques désastres mais cela en aurait surtout beaucoup créé, réfléchissez, si on ne vivait pas la peur, on ne ferait pas autant attention et cela pourrait être fatidique, ou la colère, sans elle on se laisserait marcher sur les pieds, si on ne ressentait jamais de tristesse, qu'est-ce que voudrait dire le bonheur ? Il n'aurait plus aucun sens, il n'existerait pas.
En fait sans les émotions négatives on ne pourrait pas avoir d'émotions positives, et sans émotions positives on ne peut pas vivre, donc on ne peut pas non plus vivre sans émotions négatives. Et puis les émotions négatives nous construisent, tout autant, voir même plus, que les émotions positives. Elles nous poussent à réfléchir, tout comme les émotions positives nous poussent à nous dépasser.
Les émotions sont essentielles pour devenir ce que nous sommes, elles ne nous quittent jamais, on ressent toujours quelques choses, même si on ne sais pas vraiment quelle est l'émotion qu'on ressent, elle est quand même là. Il ne faut pas sous-estimer la puissance des émotions, ce sont elles qui nous font vivre. Enlevez les émotions et nous ne sommes plus rien, nous, être vivant.
La vie n'est qu'une épreuve mais cela ne veut pas dire qu'on ne peut pas changer de voie pendant celle-ci, ne l'oubliez jamais.