C’était sur ces mots que cette annonce fut terminée. Elle semblait avoir redonné espoir à certains. Tout le monde s’était remit à chercher un moyen de sortir. Je me décida à chercher un moyen de m’échapper de cet endroit. Angui me proposa de devenir une briseuse. Je fus intriguée de cette demande, j’avais néanmoins acceptée. Il m’expliqua ce que cela signifié, je fus très attentive à ses explications même si j’avais déjà une idée de ce que cela impliqué.
- Tu devras tout faire pour parvenir à trouver une issue par la porte infranchissable comme nous l’appelons. Rétorqua un jeune d’un air hautain.
Je me rendis près de la porte, une petite troupe se présenta à moi; ils semblaient assez courtois et sociable. Je ne me rappelais plus de tout les prénoms mais j’avais retenu, Edouard et Marffin. Edouard était ici depuis 1 an, il ne semblait toujours pas s’être accommodé à cette « enfer » , j’ai aussi pu remarqué que lorsque j’ai parlé de sa vie antérieur a celle d’ici, il ne semblait ne se souvenir de rien. M’avais-t-on mentis ? Peut être que je ne saurais plus jamais alors ?! Mais est-ce vraiment important ? Cela ne m’aiderais certainement pas à sortir d’ici. Je me mis à chercher une quelconque façon d’ouvrir cette porte même une fois cette porte ouverte, il faudrait trouver un moyen de faire fasses au personnes qui se trouvaient derrière.
Marffin se place au milieu de notre prison et pris la parole.
- J’ai un plan, je sais que nous avons déjà tenter de nous enfuir par la porte pendant le conseil mais là j’ai une idée ! Quelqu’un pourrait simulé malaise et pendant ce temps quelques uns d’entre nous pourraient entrée en abattant quelque garde.
L’idée n’étant pas complètement insensé, tout le monde accepta de tenté cette option. Un minorité de personne dont moi, trouvé cette idée totalement absurde. Mais il fallait tout tenté, donc je ne fis aucune réflexion mais je regardais Édouard et il ne semblait lui non plus tout à fait d’accord.
Nous devions alors attendre, un mois pendant que dehors, des personnes mourraient et un vent de révolte grondait sur les camps.
Les jours passait et il n’en fut pas un où je ne pensais pas tout ce qu’il se qu’il pouvait bien se passait à l’exterieur. Marffin semblait confiant mais j’eus comme une intuition qui e disait que ce plant n’allait pas fonctionner. Mais je ne pouvais rien dire, personne ne disait rien. Je restait alors à mon travail de briseuse, tout en sachant que je ne parviendrais pas à ouvrir cette porte.
Chapitre 2 :
« Jour de la cérémonie »,
Nous nous rassemblions près de la porte comme les fois précédente, un homme sortit et nous avait dit comme à son habitude « En rang ! » Et il poursuivit avec « En place pour le choix ! »
Nous étions tous près et c’était Marffin lui même qui devait être la diversion. Il se mis a tremblait comme une feuille et on entendait de tout coins :
- Nous n’y arrivions pas, cette idée est stupide, on va tous être exécuté.
Je ne fus en aucun cas en désaccord avec eux mais comment faire maintenant que le plan était lancé on ne pouvait plus faire marche arrière. La porte était ouvert, le garde se dirigèrent vers Marffin, pour l’instant tout fonctionné. Je suivis les autres par la porte, nous vîmes des homme armés jusqu’au dents; Il fallait nous cacher immédiatement. Nous allâmes ana sala première salle sui n’était pas fermer à clef etc nous nous nous dirigées vers une perdante qui était visiblement dans une cage. Je crus un instant que c’est Oliver mais je ne faisais pas très attention;
- Faut allez chercher les autres ! lança Tomas
- Es-tu fou ! Hors de question ! Nous les rechercherons plus tard, il faut d’abord savoir ce qu’il se trame ici. Repondit Angui
Il avait ne quelque sort raison, c’est alors que je perçus une voix, que j’avais déjà entendu car elle me paraissais en quelque sorte assez familière. Je me suis soudain retournée et j’avais cette fois ci vraiment reconnu Oliver dans cette cage de verre. Nous n’avions alors pas le temps de la sauver; mais il le fallait pourtant, je ne pouvais pas le laisser là, comme ça. Pourtant j’y fus contrai te.
- Je reviendrai te chercher, je te le promet, quoi qu’il m’en coûte ! Lui avais-je dis avant de suivre les autres.
Les portes étaient fermer, nous aperçûmes Zaho, il a dû être emmener à la cérémonie; Je ne le connaissait pas, mais je vis sur le visage des autres que c’était quelqu’un qui ne mériter pas ce qui allait probablement se passait. Nous décidâmes de fouiner dans le bâtiment. Je réussit à faire juré à mes coéquipier de revenir chercher Oliver par la suite, je ne pouvais pas partir sans lui.
Un homme qui semblait étrangement ressemblait à quelqu’un que je connaissait se dirige vers un bureau, l’équipe se scinda alors en deux partie, Angui, Josh et Jacob étaient avec moi. Nous allâmes près du bureau, nous écoutâmes alors attentivement ce que cette homme disait ;
- Bien, écouté, la situation s’aggrave, la perspective d’un jour meilleur s’éloigne. Il faut agir et vite. Je sais bien que vous souhaitez que ces jeunes soit assez futé et intelligent pour sortir. Mais je crois que après 2 ans et demi vous pouvez constatez que ce n’est pas le cas. Il faut passer à la vitesse supérieur.
Cette phrase me laissais perplexe mais en même temps, je ne pouvais rester sans savoir pourquoi j’étais enfermer et que je ne savais même plus qui j’étais auparavant ! Une femme qui se trouver dans le bureau poursuivit :
- Tu sais très bien qu’ils en sont capable, tu as travaillé avec Amanda pendant 13 ans . Ses plans marchent toujours ! Tu ne devrait pas te conduire comme ça ou elle vas …enfin tu sais très bien. Elle a toujours tout planifié …Il n’y a pas d’échappatoire possible et cette révolte qui gronde dans le camps 4 n’arrange rien à la situation. Tu as raison, il faut agir, mais pas comme ça.
- Je ne vois pas d’autres façon ! Comment veux-tu que ces jeunes s’en sortent dehors ! Il ne savent même pas la moitié de ce qu’il s’y passe ! Rétorqua l’homme.
- Ils ne doivent pas savoir !
- Si ! Il y a 5 camps qui on déjà du être exterminer ! Poursuivit-il
- Tait-toi ! Amanda sait ce qu’elle fait, si tu es du coté de L.M.R dit le tout de suite !
- Comment oses-tu ! Ces jeunes ne sont pas capable de survivre dehors et tu le sait bien autant que moi ! Tu es même la mieux placé pour le savoir ! C’est bien pire que ce que la moitié des personnes envoyer dans les camps pensent….. C’est peut être vraiment la fin de l’espèce humain ?! Voire la fin de toutes les espèces….Conclut-il
Nous écoutâmes ce que ces deux personnes disaient quand je ce que je recardais avec tellement de fascination et de colère, disparu et je sentis que mon corps s’évanouissait.
Écrit par : The Wildspirit
Corrigé par : Dinedine 67